Stuttgart - Capitale du Bade-Wurtemberg

Samedi, je me suis rendue à Stuttgart avec un groupe du Goethe-Institut. Deux heures en train régional, pas très rapide. Ce qui me fait dire que pour me rendre à Strasbourg, en France, comme me le propose ma mère, ça prendrait 2 h 30 tout au plus (et beaucoup moins en ICE, le TGV allemand). Les ICE sont très rapides, le voyage jusqu'à Berne, en Suisse, ne prend que 3 heures, et c'est loin d'ici Berne... Mais ça, c'est jeudi prochain. De retour à Stuttgart...

Les paysages étaient très jolis en chemin. De petits villages dans des collines, beaucoup de vignobles. On était divisé en groupes de cinq personnes en raison du billet de train. On venait de l'Iran, de Russie, de Thaïlande, du Bénin et du Québec; un vrai tour du monde en allemand. Premier arrêt, le musée Mercedes-Benz, un peu en banlieue. Je vous montrerai des photos demain. Avant la visite, les 4 filles, on est allé manger au restaurant du musée. On a pris des spécialités régionales (ah, je viens juste de penser que j'aurais dû prendre une photo...). J'ai pris une petite portion à 6,50 euro et c'était en fait une portion normale. Des lentilles, avec des nouilles allemandes, une saucisse et un bout de jambon. C'était un peu trop viandeux pour moi, mais c'était bon. Je pense qu'il y a autant de légumes dans les restaurants allemands que dans ceux de Vienne. Après, on a fait une visite rapide du musée. C'est quand même une exposition de chars, et quand on n'a pas d'intérêt pour les chars...

On s'est ensuite rendu au centre-ville où on a pu constater qu'il y a beaucoup plus de monde à Stuttgart qu'à Mannheim. La voie piétonnière était noire de monde. Mais on s'est écarté un peu pour trouver les vieux bâtiments. Je me suis acheté une carte postale afin d'avoir une carte pour nous diriger. Notre ami africain a pour sa part préféré visiter les boutiques.

On a repris le train pour Mannheim à 18 h 30. J'étais crevée. J'ai parlé en français un bout de temps, avant de passer à l'anglais pour que mon amie iranienne puisse participer à la conversation. On était vraiment fatigué, l'allemand ne venait pas vraiment. Il faut dire qu'on avait parlé allemand toute la journée.

Je me suis couchée à 22 h, réveillée à 7 h 30, puis rendormie à 8 h 30 jusqu'à midi. Les dimanches, je fais rien. De toute façon, je ne peux même pas faire l'épicerie, car c'est fermé et je n'ai pas de cuisine, alors pas de repas à préparer.

Staatstheater Stuttgart

Hôtel de ville